• Bilan

    Jean-Luc Chervin a été élu il y a maintenant 1 an sur un programme classique, peu ambitieux et cruellement vide de grands projets. Force est de constater qu'après 1 an le bilan est évidemment négatif :

    - Absence d'une vision à long terme sans aucun grand projet. Les seuls projets développés ont été initiés par son prédécesseur. La gestion de la ville reste donc basique.

    - Stabilité des taxes locales. Or, comme les bases de l'état augmentent, nos impôts locaux augmentent mécaniquement. La stabilité est une fausse bonne idée. Riorges Passionnément a fait campagne pour une baisse significative de 3 points des taxes locales, afin que chacun constate au final une véritable baisse de ses impôts. Ceci aurait été d'autant plus facile à mettre en place que l'impact sur le budget de la ville aurait été très faible, et donc très facilement amortissable.

    - Baisse des subventions aux associations. Malgré les allégations du maire dans les journaux ("un effort a été fait"), les subventions sont passées de 476 000 € en 2013 à 463 000 € en 2015, soit une baisse franche de 13 000 €. On n'est pas loin du coût de la refonte du logo de la ville et du magazine municipal !

    - Dépenses non pertinentes et non prioritaires selon la population : refonte du logo et du magazine municipal, pendant que des associations ou des habitants demandent de l'aide...

    - Attitude vis-à-vis de l'opposition :

    • la municipalité oublie de nous inviter à certaines inaugurations
    • le maire n'arrive pas à répondre à toutes les questions techniques posées par notre groupe d'opposition lors des conseils municipaux. Il a alors recours à des réponses écrites ultérieures
    • les attaques à notre endroit sont jugées maladroites, telle la plainte pour diffamation contre Nicolas FAYETTE, classée sans suite.

    Le quotidien Le Progrès a réalisé un sondage pendant 15 jours sur son site internet et le résultat confirme notre bilan : 30 % à peine de Riorgeois sartisfaits contre plus de 61 % de mécontents. Le choix de M. Chervin par les socialistes était-il le bon ?

    Le bilan est donc clair : aucun projet d'avenir hormis ceux de son prédécesseur, aucune baisse d'impôts en perspective (qui sont toujours les plus élevés de l'agglomération), pas de proximité avec la population, rejet de l'opposition.


  • Depuis le 15 avril 2015, le journal Le Progrès a mis en place sur son site internet un sondage auprès des internautes, sous le titre "Un an après les élections, pensez-vous que la municipalité conduite par Jean-Luc Chervin a tenu ses engagements ?"

    Le résultat est sans appel et déplaît fortement au maire de Riorges :

    OUI = 30 %

    NON = 61 %

    Ne sais pas = 9 %

    Vous pouvez retrouver ce sondage à l'adresse suivante :

    www.leprogres.fr/loire/2015/04/30/un-apres-les-elections-pensez-vous-que-la-municipalite-conduite-par-jean-luc-chervin-a-tenu-ses-engagements

    Riorges Passionnément dénonce régulièrement les erreurs commises par la majorité. Les propositions fortes défendues par notre groupe lors de la campagne des Municipales ont été dénigrées par nos adversaires de gauche, alors qu'elles visaient à améliorer sensiblement la vie quotidienne des Riorgeois et leur pouvoir d'achat.

    Pour notre ville et pour ses habitants, il est fort dommageable que le maire et ses adjoints n'aient pas pris le temps d'entendre les souffrances et les doléances de la population, et aient rejeté toutes nos propositions sans vraiment les comprendre.


  • pouce-baisse

    Après à la démission de M. Bosio du club riorgeois de tennis dont il était président, le maire M. Chervin s'est fendu dans la presse d'une réponse surprenante en martelant qu'il aurait été immoral de dédommager le club suite aux répercussions financières négatives de la réquisition des terrains de tennis du club pour l'hébergement des sans-abri l'hiver dernier.

    En effet, cet hébergement a eu un impact négatif sur les comptes du club (manque à gagner et salaire des salariés du club). La municipalité, alors en pleine campagne pour les élections municipales, avait promis une subvention exceptionnelle pour palier le déficit. La promesse a disparu avec les élections. Le maire parle d'immoralité si dédommagement il y a, et se cache derrière un engagement qui n'a pas été officiellement contracté. Le maire est donc fier de nous annoncer : "mes engagements oraux n'ont aucune valeur, seuls mes engagements écrits comptent !"

    N'est-ce pas plutôt immoral de ne pas dédommager un club de la ville, suite à un préjudice indirectement causé par des décisions de la mairie ? N'est-ce pas également immoral de s'engager verbalement afin de pouvoir après coup se cacher derrière le fait que la promesse n'était pas un engagement écrit ?

    Il faut noter qu'à chaque conseil municipal, les élus votent régulièrement de nouvelles subventions exceptionnelles, et pas toujours pour des associations riorgeoises. Sur quels critères se fonde la majorité pour l'octroi de ces subventions exceptionnelles ? Encore un mystère bien gardé, et peut-être quelques arrangements entre amis...


  • La liste adverse multiplie les erreurs et les irrégularités électorales. Sa tête de liste, Jean-Luc Chervin, pourtant fonctionnaire aux finances publiques, voudrait la confiance des Riorgeois quand il est incapable de respecter les régles électorales. Voici un petit florilège des erreurs relevées dans son programme :

    - sa liste communautaire présentée en page 11 est non réglementaire, elle ne contient que 6 noms au lieu des 8 obligatoires. Elle a donc été invalidée par la Préfecture. M. Chervin n'a eu d'autre choix que de revoir sa copie et de rajouter 2 candidats pour respecter le code électoral. Tout était pourtant bien expliqué sur notre site www.riorgespassionnement.fr !

    - l'absence de numéro face à chaque candidat ne permet pas de connaître clairement l'ordre de sa liste municipale. Il est même probable que les 2 pages centrales de son programme aient été inversées, d'où une confusion encore plus grande. Difficile de faire plus obscur !

    - un oubli à la limite de l'illégalité a été constaté concernant l'appel à soutien en dernière page : le texte parlant de la déduction fiscale précise "pour déduire cette somme de vos impôts". Or, la loi ne prévoit pas de déduire la somme totale versée pour un don, mais seulement 66% de cette somme, ce qui devrait être clairement indiqué pour éviter toute tromperie envers le donateur.

    - un mensonge malheureusement habituel dans son bilan est révélé sur le tableau de la dette de la ville. Le tableau montre une grosse baisse de la dette, mais seulement à partir de 2013. Or, les comptes 2013 et au-delà n'ont pas encore été validés, la baisse reste donc une simple hypothèse, voire un simple espoir. Il est facile de faire croire aux Riorgeois que la dette diminue quand on ne parle que de l'avenir. La vérité est qu'entre 2008 et 2012, la dette a globalement stagnée.


  • ecole

    Mercredi 13 novembre avait lieu sur toute la France une manifestation d'envergure contre la réforme des rythmes scolaires. Riorges a réuni devant la mairie les 4 écoles communales ainsi qu'un certain nombre d'autres établissements scolaires des villes alentours.

    Le maire n'a pas souhaité aller à la rencontre des parents-manifestants, mais a préféré recevoir une mini-délégation de 8 parents dans une des salles de la mairie, en terrain protégé... 

    Cette rencontre aurait pu être l'occasion pour le maire d'écouter les revendications, les problèmes rencontrés, les aberrations de la réforme. L'occasion aussi de faire un véritable geste envers ces parents et ces enfants qui souffrent de ce méli-mélo de réforme. Il n'a pu en être question puisque le maire a préféré faire un long étalage de l'historique du système scolaire, sans laisser la parole aux parents. Certains ont voulu intervenir mais M. Devis leur a coupé la parole pour les inciter à se taire et à écouter. Comprenez-vous, il n'a rien à apprendre d'autrui !

    Cette attitude irrespectueuse et scandaleuse n'est pas acceptable au regard des parents. Faire semblant de recevoir les parents pour les tancer et tenter de les convaincre du bien-fondé de cette réforme grand-guignolesque plutôt que pour amener une réflexion constructive, nous avons là tout le dogmatisme de la gauche française.

    Si M. Devis voulait prendre les parents pour des imbéciles, c'est fait !





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