• attitude

    Suite à la création de notre association politique Riorges Passionnément, nous avons déposé une demande de subvention comme n’importe quelle association. Nous savions d’avance que cette demande serait rejetée pour 2 raisons :

    -     Tout d’abord, seules les personnes physiques peuvent soutenir financièrement une association à but politique, ce qui n’est pas le cas d’une municipalité.

    -     Secondement, le maire a, depuis longtemps, fait le choix de ne pas développer le tissu associatif de sa ville, en limitant au maximum les subventions et le nombre d’associations (60 au lieu de 120 pour une ville de notre taille). Cette année 2013 encore, les subventions aux associations sont en baisse par rapport à 2012 (2 700 € de moins, cette somme aurait pu être très utile à n’importe quelle petite association en proie aux difficultés).

    Finalement, le seul objectif de notre démarche était de découvrir la manière dont la municipalité allait nous opposer ce refus. Et Riorges Passionnément n’a pas été déçu ! Le courrier de refus est tout simplement méprisant. La plupart des élus de gauche, depuis la création de notre association, n’ont qu’une attitude à notre égard : la désobligeance et le mauvais esprit !

    Ce fut le cas lors de la réunion publique sur le budget du 28 mars 2013 lorsque le maire a pratiquement agressé verbalement un habitant riorgeois posant une question et dont le seul défaut était d’appartenir à Riorges Passionnément.

    Ce fut encore le cas lors du dernier conseil municipal, au cours duquel 2 élus se sont permis des apartés moralisatrices et désobligeantes envers notre association, alors même qu'un conseil municipal n'a aucunement ce rôle. De notre côté, bien que présents, nous n'avons pas souhaité réagir directement puisque nous n'en avions aucun droit lors d'un conseil municipal.

    Et c’est une fois de plus le cas dans ce courrier discourtois ! Bien sûr, le maire ne pouvait qu’ignorer l’objectif de notre demande !

    A titre de comparaison, le même courrier adressé au Conseil Général et donc à M. Jayol, a reçu une réponse négative évidemment, mais polie et respectueuse. 2 personnages différents, 2 moralités différentes !